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FICTION: COMME DANS UN JEU VIDÉO…
Prologue de la 3e guerre
Dans l’an 20XX, la situation sur la Terre est grave. Donald Trump fait des siennes, l’État Islamique est plus actif que jamais, la Russie répond au bombardement de la Syrie et la Corée du Nord a décidé de passer à l’attaque, et tous les quatre en même temps. Avec les actions de ces quatre armées, les autres nations n’ont eu d’autres choix que de choisir leurs camps et combattre. Ainsi commença la 3e guerre mondiale. La présence des armes nucléaires fait que, dès le début, cette guerre est déjà plus destructrice que les deux précédentes guerres mondiales réunies : Donald Trump a débuté la guerre en bombardant l’Irak et la Corée du Nord tenta, et échoua en raison de bombes en mauvais état, de bombarder la Corée du Sud pour sa première attaque, parmi tant d’autres incidents. Bien que la Russie air déclarer la guerre à Trump après ce qu’il a fait à la Syrie, il n’y a pas eu de victimes d’un camp tuées par l’autre camp de déclarées, étrangement. Il y a cinq camps dans cette guerre : Les Pros-Trump qui suivent les désirs de grandeurs de Donald Trump, l’État Islamique qui veut maintenant dominer le monde, les Antis-Trump qui, bien qu’ils ne l’affrontent pas directement, font en sorte que Trump n’atteigne pas ses buts les plus problématiques, le Conseil consultatif des moudjahidines en Irak qui regroupe les autre organisations terroristes islamistes et qui cherchent, comme l’EI, à dominer le monde et, finalement, la Corée du Nord qui veut prendre le contrôle de la Corée du Sud et éliminer tous ceux qui s’y opposent. L’Irak est en flammes, les États-Unis sont divisés dans une guerre civile qui opposent les Pros-Trump civils aux Antis-Trump civils, la Corée est un immense champ de bataille dans lequel personne n’est en sécurité, tous les pays ont pris les armes, tout les camps ont subis de lourdes pertes et la 3e guerre mondiale ne fait rien que commencer.
Portrait Littérature d’Abou Bakr al-Baghdadi
Abou Bakr al-Baghdadi est un combattant de type Boss rapide mais fragile qui favorise les coups rapides et précis aux coups lourds et puissants. Son arme principale est une mitrailleuse AK-47. Sa myopie fait que ses tirs sont imprécis et se dispersent, mais au combat, ça fait qu’il est plus difficile d’éviter ses balles de loin. Au corps-à-corps, il se bat avec un cimeterre qui fait plus de dégâts que son AK-47. Il possède une des rares attaques divines (des attaques puissantes qui ne marchent que sur les athéistes), la sienne étant un éclair qui s’abat sur son ennemi. Bakr, étant un religieux, n’est pas affecté par les attaques divines. Il possède l’attribut djihad divin qui fait que, quand il affronte quelqu’un qui est religieux mais pas musulman, ses attaques par balles sont plus puissantes et ses attaques au cimeterre ont un effet de foudre.
Attaques spéciales :
Gros Kamikaze : Un gros terroriste qui était derrière une feuille de camouflage dans le décor lâche son camouflage et saute dans l’avant plan en direction de l’ennemi, en disant le faire pour son Dieu, afin de l’écraser et de l’exploser avec la grosse bombe qui est attachée à lui. L’écrasement provoque des dégâts et augmente les dégâts causés par l’explosion. S’il rate, il explose quand même en espérant que l’ennemi soit attrapé dans l’explosion.
Encerclement de tirs : Des terroristes sortent du sol en cercle autour de l’ennemi et tirent au milieu.
Exécution sur le champ de bataille : Des terroristes qui étaient camouflés chacun lâchent leur camouflage et tentent d’immobiliser l’ennemi et de le mettre à genoux devant Bakr qui va ensuite tirer un chargeur complet dans la tête de l’ennemi avant de lui trancher la gorge avec son cimeterre. S’ils ratent, l’exécution n’a pas lieu. Si le djihad divin est en action, Bakr va réciter le Coran pendant l’exécution, appliquer le canon de son fusil directement sur la tête et il va plutôt planter son cimeterre dans la gorge de l’ennemi et l’électrocuter.
Attaque Ultime :
Armée du calife : Les deux combattants sont transportés dans un terrain désertique et la totalité des membres de l’EI, y compris ceux qui sont morts, foncent sur l’ennemi dont la mort sous leurs coups est cachée par l’armée de terroristes. Pendant ce temps, Bakr est transporté hors du champ de bataille par un éléphant.
Portrait Littérature de Donald Trump
Donald Trump est un combattant de type Boss qui n’est pas le plus mobile, préférant les attaques lourdes qui causent de larges dégâts. Son arme principale est un fusil à pompe Winchester 1300. Son Winchester fait plus de dégâts de proche et ses attaques au corps-à-corps sont soit à mains nues, soit à la crosse de son fusil. Ses autres attaques sont : lance-roquette, grenades, bombardements et drones lance-missile ou mitrailleur. Ses attaques spéciales impliquent toutes de bombarder l’ennemi. Trump, étant religieux, n’est pas affecté par les attaques divines, mais n’est pas assez religieux pour en avoir une lui-même. Il possède l’attribut Redneck Assault qui fait que, quand il affront un adversaire d’un groupe ethnique différent, ses attaques de bombardement envoient plus de bombes par bombardements et ses attaques au Winchester font plus de dégâts.
Attaques spéciales :
Great Wall of America : Trump fait sortir un mur du sol en disant qu’il va faire payer l’ennemi et bombarde l’autre côté du mur. Si l’ennemi est de l’autre côté, il devra esquiver les bombes. Si l’ennemi se trouve à l’endroit d’où sort le mur, il sera envoyé dans les airs par l’impact et sera trop assommé pour esquiver les bombes. Si Redneck Assault est en action, le bombardement aura deux fois plus de bombes.
Napalm Strike : Trump fait tomber une bombe au napalm sur l’ennemi. Si la bombe rate, elle laissera une flaque de napalm qui blessera ceux qui marchent dessus, même Trump. Si la bombe touche sa cible, Trump aura le temps d’enfiler une combinaison « hazmat » qui le protègera du napalm dont l’ennemi est couvert et qui continue de le blesser. Si Redneck Assault est en action, trois bombes napalm à la suite sont larguées.
Virus Strike : Trump tente d’enfiler un masque à gaz et, s’il l’ennemi ne réussi pas à l’en empêcher, il fera ensuite tomber une bombe contenant un virus qui infecte par la respiration et qui rendra l’ennemi gravement malade pendant un certain temps. Si Redneck Assault est en action, tout est triplé.
Attaque Ultime :
Nuke’em : Trump fait tomber une bombe nucléaire sur l’ennemi. Le tuant sur le coup. Trump, par contre, est subitement transporté loin de l’explosion qui se passe derrière lui alors qu’il s’en éloigne en marchant tout en portant des lunettes de soleil.
Introduction du combat final des É-U contre l’EI
La Maison-Blanche sous un ciel nuageux alors que la Maison-Blanche dégage de la fumée
La fin de la guerre est proche pour les États-Unis et l’État Islamique qui s’apprêtent à se faire face dans un grand combat final. Les deux camps ont subis de lourdes pertes pendant la guerre, dont une bonne partie en raison des stratégies agressives et diverses erreurs de Donald Trump, comme lors de la bataille de l’Arizona où le président à soi-disant « oublié » de prévenir les soldats qu’il allait bombarder le champ de bataille.
Donald Trump (flash back de son discours des pertes par son bombardement, une cinématique précédente) :
J’ai oublié de les prévenir. Ça arrive à tout le monde d’oublier, n’est-pas? Ce n’est pas comme si c’était un oubli important, pas vrai?
L’État Islamique se tient devant l’entrée de la Maison-Blanche
L’État Islamique était presque vaincu, mais le chef de l’État, Abou Bakr al-Baghdadi, était déterminé à gagner, il a donc décidé de tenter un ultime plan : envahir la Maison-Blanche et prendre le contrôle de l’arsenal nucléaire des États-Unis afin de bombarder leurs autres ennemis.
Les soldats américains dans la Maison-Blanche sont en position et attendent que l’EI passe à l’attaque
Les dommages collatéraux causés par Trump ont assez affaibli l’armée américaine pour que, pour ce combat final dans la Maison-Blanche, aucune des deux armées n’aie l’avantage du nombre sur l’autre et vice-versa. Pas que cela ne puisse briser la volonté de vaincre des Américains, qui étaient décidés à en finir avec leur ennemi.
Diverses images montrent les russes qui attaquent les bases d’Al-Qaïda
L’armée russe ne peut pas supporter l’Amérique car les Russes sont en train d’en finir avec le dernier groupe terroriste membre du Conseil consultatif des moudjahidines en Irak qui n’a pas encore été exterminé au grand complet : Al-Qaïda, le groupe qui dirigeait tous les autres.
Champ de bataille en Corée ou toutes les autres armées se rangent avec la Corée du Sud pour affronter la Corée du Nord
Les autres pays, dont plusieurs qui sont ouvertement opposés à Trump, sont occupés d’en finir avec la guerre de la Corée, tous rangés du côté du Sud pour affronter la Corée du Nord afin d’en finir avec Kim Jong-un une bonne fois pour toutes.
Dans la Maison-Blanche, l’armée américaine et l’État Islamique se battent férocement
Aucun des deux camps ne veut laisser l’autre gagner et les corps de soldats américains et de terroristes s’accumulent sur le sol.
Abou Bakr al-Baghdadi se fraie un chemin vers le bureau ovale
Abou Bakr al-Baghdadi, chef de l’État Islamique, qui, depuis la bataille de Trump Tower où toutes ses bases ont été bombardées et sa base principale a été détruite par celle que l’on appelle la mère de toutes les bombes nucléaires, n’a nulle part où se cacher, se bat sur le front et est décidé à, pour prouver que sa cause est juste, tuer le président de ses propres mains.
Donald Trump se tient au milieu du bureau ovale avec un air sérieux
Le président Donald Trump sait que le combat irait jusqu’à lui, éventuellement, mais il espérait que le chef ennemi soit celui qui allait entrer dans le bureau ovale, car c’est toujours au héros que revient la responsabilité de tuer le grand chef des méchants. Et, selon lui, il est ce héros.
Bakr entre dans le bureau ovale et lui et Trump se regardent droit dans les yeux d’un regard noir.
Afin que l’un arrive parfaitement à ses fins, l’autre devra être tué de ses propres mains.
Discussion pré-combat
Trump : Alors, c’est toi qui es venu jusqu’à moi. En fait, j’espérais que ce soit toi. Car l’idéal est un affrontement chef contre chef, n’est-ce pas?
Bakr : Détrompe toi. Je ne suis pas venu seul.
Trump : Fais venir qui tu veux, ce n’est pas important. Je les éliminerais tous. Car je suis votre pire cauchemar à toi et ton « État ».
Bakr : État qui est l’État idéal. Tel qu’Il le désire.
Trump : Tu es certain qu’Il a dit ça? Car j’ai plutôt entendu qu’Il voulait que je rende sa gloire à l’Amérique?
Bakr : Gloire? Quelle gloire? Si tu appelles un empire de mensonges qui traite les classes inférieures et les étrangers comme des esclaves glorieux, alors l’Amérique est Son glorieux domaine. Ce qui n’est pas le cas.
Trump : Et toi, tu vois les femmes comme des objets à servir les hommes. Vraiment glorieux.
Bakr : Et c’est mieux de les « attraper par la chatte »?
Trump : OUI! Car je suis célèbre! L’es-tu?
Bakr : Je suis le calife de mon État. À ton avis?
Trump : Le président bat le calife!
Bakr : L’inverse, en fait.
Trump : MENTEUR!
Bakr : Ce n’est pas dans ma nature de mentir. Et je te promet une mort qui t’es digne. Car même envers mes ennemis, je tiens ma parole.
Trump : Je crains que ta propre mort ne te permette pas de tenir cette parole, « Big Daddy »!
Bakr : BIG DADDY?! Peu importe, quand j’en aurais fini avec toi, ton arsenal nucléaire dont tu transféré le contrôle à ce bureau exactement, servira à jeter le jugement divin sur mes ennemis.
Trump : Impossible! J’ai déjà planifié qui je vais juger avec ce même arsenal. Comme j’ai déjà jugé ton ancienne base principale.
Bakr : Et qui est-ce que tu va juger, exactement?
Trump : La Corée du Nord et tes ex-amis terroristes, pour commencer. Je n’ai pas encore décidé du reste parce que QUELQU’UN est entré chez moi sans prévenir!
Bakr : Si c’est ce que tu faisais avant que j’arrive, alors j’ai bien fait de venir aujourd’hui.
Trump : En fait, tu as raison. Tu as bien fait de venir. Car rien ne vaut tuer un chef terroriste de mes propres mains pour se trouver des idées de cibles!
Bakr : De mon côté, ta mort me servira à moi aussi de source d’inspiration pour savoir où je devrais envoyer le jugement. Maintenant que j’y pense, n’est-ce pas le Faucon Maltais qui est derrière toi?
Trump : Le véritable. C’était un officier coréen du Nord qui l’avais depuis tout ce temps. Et je le lui ai pris des ses froides mains mortes. Après l’avoir tué moi-même, évidemment.
Bakr : Ce faucon est un trésor digne d’un calife. Je le ferais transporter dans mon nouveau palais.
Trump : BAS LES PATTES! N’est-ce pas ton peuple qui coupe la main du voleur, par hasard?
Bakr : Pour une pomme. Mais quand un chef est vaincu, tout ce qu’il a revient à celui qui l’a vaincu.
Trump : Donc si je te tue, je prend ce qui est a toi, c’est ça? Comme ton titre de calife? Genre, calife à la place du ca… Je l’ai évitée de justesse, celle là! Peu importe, j’ai déjà mieux de toute façons, car je suis président des États-Unis. Le seul président qui pourra sauver l’Amérique, même. De toi!
Bakr : Tout ce que tu fera, si je te laissais faire ce que tu voulais, c’est de plonger l’Amérique dans un enfer bien pire que ce que même Lui pourrait y faire. Seul le calife peut sauver ce monde des péchés dont il souffre. Et tu es l’un des pires péchés de ce monde.
Trump TA MÈRE était le deuxième pire de son pays, toi étant le pire. Dieu sera bien content quand je t’aurais envoyé en enfer!
Bakr : Allah désire en fait que je t’élimine, car tu es dans le chemin du grand Jihad. Ni Lui, ni moi pouvons tolérer tes mots une seconde de plus. Cette discussion est terminée.
Trump : Alors le temps de se battre est arrivé, c’est ça? PARFAIT! Je commençais à en avoir assez de t’écouter! Emmènes-toi qu’on en finisse une bonne fois pour toute avec cette longue croisade et la 3e guerre mondiale, pendant qu’on y est! Je vais te montrer pourquoi je suis votre pire cauchemar à vous, les maniaques de l’État islamique!
Fins de Donald Trump et d’Abou Bakr al-Baghdadi
Fin « État islamique d’Abou Bakr al-Baghdadi »
Bakr est dans le bureau ovale, entouré de membres de l’EI qui l’acclament.
Bakr : Notre Seigneur nous a accordé la victoire! C’est à Lui qu’on doit tourner nos remercîments! Il est maintenant temps de faire un grand pas dans notre Jihad en jugeant les hérétiques pour Lui! L’heure du jugement divin a sonné! Alhamdulillah!
Sur ses mots, les missiles nucléaires américains son lancés sur les autres pays.
Fin « États-Unis de Donald Trump »
Trump se tient devant Bakr qui git mort au centre du bureau ovale.
Trump : Tu as été une épine dans le pied de l’Amérique pour bien trop longtemps et ton groupe n’a causé que des problèmes pour les États-Unis et mes rêves envers eux.
Trump avance vers Bakr.
Trump : J’ai de grands rêves pour l’Amérique. Des plans qui feront de ce pays le plus grand de tous. Et vous n’avez pas votre place dans mes rêves, toi et tes foutus terroristes. Va voir ce que Dieu a à dire sur toi avant qu’il t’envoie rejoindre tes sous-fifres en enfer!
Trump se met à décharger son Winchester sur Bakr alors que des soldats américains entrent dans le bureau et se mettent à acclamer Trump.
Soldats : YEAH! YAHOO! GO PRESIDENT!
Trump n’arrête de tirer que lorsqu’il ne reste plus rien du corps de Bakr, au moment duquel il sort du bureau avec un air fier.
Trump : Hail to the King, Baby!
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