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Suivez-nousPartager
by PartagerIls vivent en masse, toujours aussi tenaces.
On se rend pas forcément compte qu’ils sont là, comme le mal, l’immoral pour eux est primordial.
Ils découragent, probablement emplis de rage, un mal qui les suit et les ravage.
On dirait qu’ils ont besoin d’une victime, une cible quelconque, leur petit sac de riz,
La petite chose qui ne va pas se plaindre et les étreindre.
Comprennent-ils qu’ils sont oppressifs ?
Que leur comportement est autant dégradant et nocif que du cannabis ?
C’est quand ils partent qu’on sent la délivrance,
Comme si on était sortis de sa cage de fer.
Fer qui est aussi dur que leurs paroles de fiers.
Parler de sujets personnels avec eux, c’est une aventure dans les poubelles.
Destructeurs, ils en profiteront pour t’annihiler,
Te rabaisser sous eux, c’est leur eau bénite,
Mais aussi dure pour toi que du granite.
C’est drôle que lorsque le dos est tourné, leurs commentaires sur toi deviennent sans pitié.
Lorsque tu te retournes en revanche, ce sont leurs faux regards doux et naïfs que tu affrontes.
Tu deviens la marionnette de ce jeu cruel,
Avec l’envie de changements, tu te rebelles.
Fais attention cependant, ils passent vite de bourreaux à victimes, en restant arrogants.
Heureusement, ce dédale a une sortie, il ne faut juste pas se lamenter,
Comme une souris angoissée.
Tu dois trouver la fin du tunnel seul, car c’est ton faux ami,
Pour toi, tout seul.
Ne perds pas ton temps, sinon tu vas y rester,
Pour l’éternité. 241 mots
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