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Tu manges
Oui de la nourriture,
Tu en manges tellement que tu te forces à vomir pour en reprendre
Tu manges tout, tu te nourris de tout ce qui est mal
L’énergie, les sentiments, les relations.
Tu te nourris de la souffrance des autres
Des portefeuilles qui te nourrissent
De la gentillesse donnée que tu as abusée et violée
Tout était pour toi, sur toi et n’importait que toi.
C’est resté comme ça jusqu’à ce qu’il en ait un qui ne te donne aucune gentillesse, aucune sympathie, aucune pitié, que son honnêteté froide et brulante.
Ce fut la fin de ton règne et tu mourras de faim
Assoiffé et affamé.
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