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L’odeur du propane me remplit les narines
Les flames sont belles
La chaleur du vent de novembre
me caresse le dos
Le clair-obscur de ces petites heures
me comble de bonheur
L’odeur de propane me remplit les narines
Les flames m’attirent
L’air glacial de novembre
m’écorche le dos
La brillance du feu à ces longues heures
me vide la tête
Ma tête est vide
Comme ce bout de papier
je me sens brisée
Comme cette feuille de papier
je me sens déchirée
L’amertume de mon café
est tout ce qui me tient éveillée
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