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Documentaire
Encore boutonneuse à l’arrivée de la trentaine, la Karine Cossette de Grand-Mère est une espèce qui a l’esprit dérangé et qui possède un langage assez vulgaire. Elle a souvent pitié du monde dans lequel elle vit, un certain dégoût parfois. Son passé lui a forgé un caractère de fourmi bulldog et sa perte de cheveux est finalement due à un stress constant. Cette espèce unique en son genre se sent souvent incomprise et jugée. Elle est en voie de disparition et elle a parfois l’impression que tous les efforts qu’elle fait pour survivre n’arriveront à rien.
Auparavant, son habitat naturel était la taverne du coin, mais avec l’évolution de l’espèce, la femelle a fini par avoir une progéniture. Elle commence tout juste à se remettre de la tempête qui a secoué son environnement dans son jeune temps. Une décennie après, elle croit qu’elle est comme un rat dans un laboratoire puisque maintenant, elle sait se servir de sa cervelle. Aucune censure, elle garde son genre révolutionnaire.
Par contre, cette espèce de Karine Cossette désire, plus que tout, aider son prochain dans le besoin. Son cœur bat au rythme de la musique et elle continue malgré tout de sourire à ce que la vie lui a fait comprendre jusqu’à maintenant. Depuis ce lundi 29 avril 1985 à cinq heures cinquante-cinq du matin, une Samson a mis au monde une bête vampirique à la soif d’apprendre, mais avec une peur de finir zombifiée.
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