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Bâtards qui parcourent les rues
Cruelle est l’humanité
Déloyaux sont les amants
Épicentre de la haine
Folie qui empoisonne l’esprit
Guerres d’une rage éternelle
Hypocrites aux sourires déguisés
Ignobles mâles en quête de plaisir
Jalousie des envieux infortunés
Kyrielles de mensonges en cadeau
Lamentables supplications de pardon
Mort qui rôde, prédatrice dans la nuit
Nocturnes escapades au pays des cauchemars
Oppressante noirceur de la nuit
Putains fumeuses et aguicheuses
Quantité grandissante de déchets pourrissant
Respirations erratiques de misère
Sinistres ombres mouvantes
Tachées du sang des innocents
Urines des bas-fonds
Vendeurs de poudre d’illusions
Wagons rouillés, vandalisés et squattés
Xénophobes cachés dans les ruelles
Yakusas aux sombres intentions
Zébrés de trainées de sang
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La recherche des mots est non seulement remarquable mais donne beaucoup d’émotion à ton poème. J’adore! Tout coule comme… comme une chute. Je m’y noierais ;) Continue comme ça madame Bordeleau.