Les animaux en voie d’extinction

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Le loup de Tasmanie: disparu!
Le loup de Tasmanie: disparu!

Il y a un début à tout et une fin. Nous vivons et nous mourons, telle est la vie. Selon nos croyances, la Terre aurait été créée soit par un ou des dieux (pour les croyants), ou bien par le Big Bang (pour les scientifiques). Dans les deux cas, la vie est arrivée sur cette planète. Je trouve que ce miracle est magnifique. Par exemple, dans notre système solaire, Terre est la seule planète qui comprend des êtres vivants, selon nos recherches, même si l’on n’a pas fini d’explorer toutes les planètes. Par la suite, il y a eu plusieurs espèces qui sont apparues avant nous, tels les dinosaures. Avec le temps, plusieurs espèces comme celles-ci ont disparu en évoluant selon le cycle de la vie. Puis, nous sommes arrivés, nous, les humains.

Pour commencer, on a appris à s’adapter à notre environnement.  Étant intelligents, nous avons vite progressé. Selon moi, nous avons progressé trop vite. Trop vite pour avoir la maturité de comprendre notre monde correctement, nous avons développé des techniques et la technologie. Contrairement aux autres espèces, nous nous sommes reproduits très vite. En moins de 200 000 ans, nous sommes passés de la moitié de la chaîne alimentaire, au rang de proies, au rang du plus grand des prédateurs.

Étant les plus grands prédateurs, nous avons pris pour acquis que nous étions le centre du monde. Nous avons fait beaucoup d’erreurs, tels qu’utiliser le charbon, de faire des coupes à blanc, de rejeter les gaz par des usines non-contrôlées (CO2) et autres. Au début, nous ne savions pas ce que nous faisions ni les conséquences que cela apportait. Avec le temps, avec la technologie, avec nos observations, avec nos recherches, nous avons découvert que ce que nous faisions était mal. On détruisait l’environnement, les habitats des autres animaux et avons même fait accélérer le réchauffement climatique. Cela a pour conséquence de détruire la vie sur cette planète. Selon Le Petit atlas des espèces menacées par Yves Sciama, publié en 2003, voici une toute petite liste d’animaux qui ont disparu entre les années 1600 et 2000 (avec l’année de disparition): la rhytine de Steller (1768), le loup des Falkland (1876), le Thylacine (1937), le kangourou-lièvre (1890) le dodo de l’île Maurice (vers 1680), le mégaladapis (vers 1600). Je pourrais en nommer encore plusieurs, et cela pendant des heures. Je ne crois pas que c’est normal qu’il y ait autant d’espèces qui soient disparues en un si court temps sans que ce soit des catastrophes naturelles qui aient causé leur perte. De plus, plusieurs espèces sont en train de disparaître. Toujours selon le livre Petit atlas des espèces menacées d’Yves Sciama, en voici quelques exemples frappants : les condors de Californie auraient une population de 140 individus en captivité et seraient tous disparus à l’état sauvage. Il resterait 200 takahés, moins de 700 kagous de Nouvelle-Calédonie, moins de 400 aigles des Philippines, moins de 250 koupreys, 1 000 pandas, etc. Ces derniers, ici, ne sont que quelques-uns! Le fait qu’il y ait toutes ces espèces qui aient disparues ne nous a rien appris, puisque nous continuons toujours à en faire disparaître et  à en menacer d’autres du même sort. Je crois qu’il est temps que l’on se réveille, que l’on ouvre grand les yeux, et que nous réagissions pour changer les choses, mais de façon drastique. Oui, nous avons commencé à produire moins d’OGM, mais peu de pays favorisent la protection de l’environnement. Il faudrait que tous les pays y participent. Mais comment s’y prendre? Il est temps de réagir, de se rebeller afin d’arrêter ce processus avant qu’il soit trop tard!

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