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by PartagerUn individu a grandi avec Jackie Chan, les Beatles et Space Jam. Cet homme en question (malgré n’ayant aucune demande d’interrogation de ses lecteurs) n’est aucunement capable de faire une présentation, sauf présentement à la troisième personne. Jean-Philippe Daigle est un étudiant pseudo bum en Arts, Lettre et Communication au Cégep de Shawinigan. Fasciné par les arts, les sciences humaines, l’absurdité, le non-sens et les jeux de mots, il est l’un des plus brillants, un des plus fanfarons des vanteurs et il est également l’un des plus égoïstes-romantiques du cégep. Sa philosophie de vie est aussi absurde qu’un masturbateur intellectuel, un redneck désaxé, un philosophe supposé tout savoir, un croyant niant la peur de demain, caetera, caetera, caetera.
Il cherche sa plume, en dénichant les champs, sans bon sens, en accrochant et s’affichant publiquement en cartouchant des mots chiants.
M. Daigle ou Monsieur Oiseau, pour les intimes, est en quête de nouvelles idées pour poursuive sa page de présentation. Il recherche des mots drôles et stupides, il essaie de faire de l’écriture automatique, sans avoir à rechercher. Tapotant avec des onomatopées : clic. Il se fout présentement de sa syntaxe et a envie de déplaire aux règles désaxées de la grammaire grammaticale.
« Thérobongi fulipajor paflucan sinsolli burri de macqnollo
Un ivre destin acknologea le presbytoire où frient l’arôme et le castor de
celui qui vécut dans un polichinelle de carton »
Merci Claude Gauvreau pour ce passage.
Je tire dans tous les sens.
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