Marche et solitude à Montréal

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Montréal, je me sens seul. Entouré d’individualistes. Aucun sourire et aucun regard, t’es enfermée dans ton esprit. Montréal, je me sens si seul : humeur constante. Masque imprégné, il ne reflète aucunement ma réalité, ta réalité. Marchant avec elles, je remarque les gens ne pensent qu’à eux. Pensant qu’à soi-même, évitant en faisant des sourires ou à en avoir. Les gens marchent : marche rapide, pas à pas avec leurs beats saccadés et leurs arrêts obligés pour laisser passer les esti de char, comme un disait.
À toi ma chère ville qui se croit sociale, tu ne penses qu’à toi. Bitchant les régions, toi tu perds ta langue. Tes stores sont accompagnés de publicité de la langue qui va te redominer.
Do you want more?
Tu n’acceptes pas la guerre ni la paix, mais tu oublies tes racines. T’es écœurée de te battre, je comprends. Montréal, je ne suis aucunement raciste ou anti-anglais. Tu perds « seulement » ta couleur, ta langue, ton sourire, ta beauté, ton auras et tes rêves. Tu te fais influencer par les autres vieilles villes américaines : New-York, San Francisco, Los Angeles… Depuis ton histoire, ç’a été ça. Je comprends. Reprends-toi Montréal, fais moi rêver. Rends-moi naïf Montréal comme tu fais avec les autres.
Montréal, je t’aime.
Peut-être qu’un jour tu te réveilleras.

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