Auteur/autrice : Catherine Lamothe
La couleur des sentiments
Malgré la barrière linguistique (mon premier roman en anglais, quel exploit), je suis tombée sous le charme de ce qui se veut à la fois un récit captivant et une critique sociale de Kathryn Stockett.
Inch’Allah
On avait découvert le réalisme poignant d’Anaïs Barbeau-Lavalette cinq ans plus tôt avec son film Le Ring, qui nous plongeait au cœur du milieu défavorisé des habitants d’Hochelaga-Maisonneuve. Pour son deuxième long métrage de fiction, […]
Les sacrés français
Le Québec, mon pays chéri que je pensais ouvert, tolérant, libre, mon Québec abritait des gens au discours aussi homophobe que ce que j’avais pu lire dans les journaux français!
J’aime Véronique Cloutier.
Admirer Véro, c’est comme accoucher de bébés siamois : ça ne s’explique pas, ça se VIT.
Les noeuds papillon
Meilleurs amis des gentils garçons / Riches de soie ou de coton / Ils s’enroulent autour de leur cou…
Pythagore et moi
J’en ai mon truck des photos de petites filles qui veulent un million de likes pour que leurs parents ne fassent pas euthanasier leur Golden Retriever ou des posts haineux du genre «Si tu ne partages pas cette image [bourrée de fautes écrite par un gars de 15 ans en manque d’attention] tu es pour la violence envers les enfants autistes».
Mais là. LÀ. Cette image circulant sur mon fil d’actualité m’a explosé en plein visage
J’aimerais full être en peine d’amour
J’aimerais ça devenir la BFF de ma boîte de kleenex, avoir des traces de mascara qui a coulé sur ma couette IKEA. Avoir un look affreux, des yeux cernés, des cheveux sales, une voix rauque de fille qui a trop pleuré.
Mes rêves… désillusion poétique de Catherine Lamothe
Je rêvais d’aller à la Cabane à sucre de Martin Picard, j’ai fini par aller me bourrer dans la soupe aux pois de la cabane chez Hill.
«Printemps fucking beurk»… un état d’âme saisonnier de Catherine Lamothe
Mais moi dans mon coton-ouaté, le cœur encore plein d’hiver, je donnerais des coups de pieds dans les châteaux de sable des enfants et j’effouèrerais leur cornet de crème glacée dans la face des amoureux qui prennent une marche.
Autoportrait de Catherine Lamothe
J’aurais pu, bêtement, ne jamais grandir, ne jamais apprendre à tenir une fourchette ou à attacher mes souliers.