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Flottant partout,
Libres et invisibles.
Leur description est de faire peur,
De hanter, rien d’autre accordé à l’histoire.
Mais ils font autre chose,
Le soir, le jour, la nuit,
Surtout les soirs.
Tous les soirs,
Surtout le soir de l’Halloween.
Ils jouent avec les enfants,
Ceux qui prennent les cimetières comme raccourci.
Ils leur apprennent à voler avec eux,
Tout en s’amusant.
Ils rient, font des blagues,
Tout pour qu’ils les gardent intéressés tout au long de la nuit.
Jusqu’au matin,
Où ces enfants décident,
S’ils vont rester avec ces fantômes,
Ou s’ils vont retourner à leurs parents.
Certains partent,
D’autres restent avec leurs nouveaux amis.
Ceux qui partent, qui retournent aux vivants,
Sont laisser en paix,
Les fantômes un lointain souvenir.
Ceux qui restent,
Ont appris à voler,
Jouer avec les autres fantômes,
Et apprennent à d’autre enfants comment voler.
Car eux aussi,
Chacun leur tour.
Ils sont tous devenus des fantômes.
Qui jouent avec les enfants,
Qui font peur aux adultes,
Et qui réconfortent les adolescents,
Seul dans le cimetière,
Laissés par ceux qu’ils appellent leurs amis.
Les fantômes accompagnent tout le monde,
Tous ceux qui pourraient en avoir besoin.
Ils les amènent avec eux,
Pour qu’ils ne soient jamais revue par personne.
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