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Haine et dégoût, parfois il en vient à oublier la signification de ces mots. « Arrête de les écouter, vis ta vie, laisse faire autrui ». Mais comment en faire abstraction quand jusque dans sa maison, la violence envers son nom peut surgir de bien profond. Jamais bien loin sont les groupes qui carburent à la haine de la crémation.
Un choix!
Si c’était un choix, croyez-vous qu’il prendrait la décision de pouvoir subir lésions et violations? Prenez garde à celui-ci qui sauterait de joie si ce choix était pour lui la meilleure option.
Ça le fait rire quand il entend qu’au Canada, la Charte des droits et libertés le protège. Juridiquement si, mais après? Entre les murs d’un tribunal, il se sent épaulé, mais cela ne réduit pas la rage qui fait ombrage sur le pavé.
Il n’est pour certains qu’un bétail, une bête, un monstre qui ne devrait pas avoir le droit de vivre. Il est dégradant, il est un mauvais exemple pour les enfants. Tout le monde sait que l’amour est à ce point révoltant!
Mais ce ne sont que les pensées de personnes bien renfermées, qui croient qu’il est anormal quand le Christ qui multiplie les pains et marche sur l’eau est le héros de leurs idéaux…
Ils peuvent croire ce qu’ils veulent évidemment. Mais entre penser et agir, pour eux, la limite s’étire.
« Tué pour avoir aimé » un nom de plus, une vie de moins. Comme les coups du fusil à Orlando en 2016, sous les balles, ont tué des hommes qui n’avaient comme seule accusation le crime d’avoir aimé.
Il ne rentre pas dans ce moule que lui a donné la société, mais un jour, il arrivera à tout risquer en criant avec fierté qu’il est gai.
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