Portrait de Stéphanie Généreux

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Le 28 janvier 1988, lors d’une journée d’hiver, est venue au monde une souriante petite fille du nom de Stéphanie Généreux. Cette jeunesse était passionnée pour les arts, mais plus particulièrement par le dessin où elle dessinait énormément des animaux de la ferme. Son côté artistique n’a jamais vraiment été influencé par ses proches. Elle voulait se différencier des autres d’une façon ou d’une autre pour que cela la rendre plus « libre ». L’art plastique fut la réponse à sa recherche, car avec ce moyen elle pouvait utiliser son imagination de n’importe quelle façon et donner un résultat qui pouvait convaincre cette travailleuse acharnée. Quelques années plus tard, elle décida d’aller vers un domaine scientifique, donc de s’inscrire dans le programme Science Nature malgré son intérêt pour les arts. Sa passion pour les animaux qu’elle avait depuis longtemps l’avait amené à vouloir devenir vétérinaire, mais ce programme, connu pour être un des plus difficiles, avait un niveau académique trop élevé pour elle. Après un an dans ce programme qui tue les heures de sommeilles, cela a malheureusement découragé Stéphanie pour continuer ses études en Science Nature.

Après ça, elle décida d’aller voir la conseillère en orientation pour qu’elle lui trouve une issue de secoure pour son parcoure scolaire. La C.O. lui suggéra d’aller en science humaine, mais étant une créatrice, elle décida d’aller en Arts lettres et communications. Elle ne savait pas dans quel programme précis se diriger, mais savait qu’elle voulait faire quelque chose qu’elle aimait. Ce qui l’intéressait était, vous l’avez deviné, l’art plastique. Ce cours, donnée par Linda Barabé, avait été vraiment apprécié par Stéphanie à cause du cours de dessin réaliste qui a toujours été une passion pour elle. Il y a beaucoup d’artistes qui a influencés sa façon de faire des arts tels que : Klein et Rothko. Pour l’étudiante, Linda est une des enseignantes qui l’a aidé énormément, car elle croyait énormément en sa capacité d’accomplir ses objectifs, ce qui a soutenu énormément son élève sur le plan émotionnel. Stéphanie a adoré ALC à cause des liens qu’elle a pu tisser durant ses années dans ce programme. Elle l’a beaucoup aimé parce que c’était un petit groupe et qu’il y avait beaucoup de différentes personnes dans celui-ci à cause des différentes branches que contient Arts, lettres et communications. Après avoir fini le programme, elle décida d’aller à l’Université du Québec à Trois-Rivières pour faire un baccalauréat en Art plastique.

Cependant, après avoir fini ce programme, elle décida de changer complétement de branche et de faire une formation en Gestion et exploitation de l’entreprise agricole à l’Institut de technologie agroalimentaire de Saint-Hyacinthe. Après ça, elle travailla en agriculture, et ce, jusqu’à aujourd’hui. Elle s’est dirigée vers l’agriculture à cause qu’elle avait eu des expériences en lien avec celui-ci. Grâce à cela, elle a compris que ce mode de vie convenait mieux à sa personnalité. Elle aime bien ce travail à cause qu’elle est proche des animaux (ce qui est une des choses qu’elle voulait avoir pendant ses études pour devenir vétérinaire). Stéphanie a déjà souffert d’une baisse en motivation, mais elle ne pense absolument pas que cela doit empêcher une personne d’arrêter ce qu’elle aime faire : « Suite à une série de mauvaises critiques on peut se sentir abattue, ne plus avoir confiance en ses capacités ou son talent. Mais quand on aime ce qu’on fait, la nécessité de continuer finit par se faire sentir et on passe par-dessus. » Même si cette ancienne étudiante en ALC, passionnée en art plastique, ne fait pas un métier lié à l’art, cela ne veut pas dire qu’elle n’aime pas le métier qu’elle fait aujourd’hui. Elle considère l’agriculture comme une de ses passions et adore celui-ci. Cette profession est vue comme étant difficile par elle ainsi que par plusieurs autres personnes puisqu’on doit se lever tôt chaque matin et qu’il y a constamment des problèmes à résoudre, ce qui fait que chaque journée est différente. De plus, l’agricultrice doit agir en tant que son propre boss, car il n’y a personne pour la superviser à par elle-même ce qui donne comme difficulté de trouver par soi-même une motivation pour continuer puisqu’elle doit se pousser elle-même pour achever ses tâches. Elle explique que le plus dure est d’avoir une constance à long terme dans ce que l’on entreprend, et que cela peut aussi se retrouver quand on doit créer une œuvre : « Faire de l’art demande un énorme investissement personnel et des heures de réflexions, d’essai-erreur et de remise en question qui ne sont pas nécessairement apparente dans le résultat final. » Elle trouve que la création lui manquait dans sa vie de tous les jours, alors elle a décidé de se lancer dans la réalisation d’une série de dessins qu’elle compte éventuellement exposés

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Sima-Jalyl Assoume Oniane

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