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La voûte céleste s’assombrit,
Me laissant dans une obscurité éclaircie.
Ma vision n’était que néant,
Laissant un vide par crainte de voir l’univers s’écrouler.
L’air habituellement doux et calme
Faisait place à cette froideur et cette terreur.
Un vent glacial chuchotait une mélodie
Tel un chant harmonieux elfique.
Dans mon monde de fantaisie
Ou la tristesse, le malheur est banni…
Un silence se fit entendre,
Faisant tout frissonner chaque être vivant de cet univers.
Ce combat harmonieux
Ne fit aucun gagnant,
Telle une tornade qui ravage tout sur son passage,
Il amena que du désespoir et du tourment.
Fermant les paupières,
Mon cœur priait pour une réponse.
Une lueur d’espérance ;
Dans l’espoir d’apaiser
Mon âme troublée.
Des larmes mouillées coulaient.
Cherchant un remède
Contre cette sombre noirceur.
Perdu et désespéré
Mon cœur ne savait quoi penser,
Jusqu’à ce qu’une voix d’une telle délicatesse se fit entendre ;
Tel un murmure de chant d’oiseaux.
Cette voix me semblait si réelle
Que je pensais que j’étais en train de rêvasser !
L’obscurité de ma demeure
Fut éclairci par cette étincelle enflammée
Qui illumina mon univers enchanté.
C’est alors que mes yeux virent ce qui est aveugle à mon âme.
C’est alors qu’elles ont vu ce que je ne croyais être réel ;
Une héroïne au cœur grand comme le ciel étoilé.
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